Dans notre étude Young Blood, 73% des interrogés déclarent qu’ils.elles veulent essayer une marque ou un produit avant de l’acheter C’est vrai dans tous les secteurs. Les méthodes utilisées autrefois pour se frayer un chemin jusqu’aux jeunes générations, influentes et difficiles à atteindre, sont aujourd’hui pertinentes pour des audiences B2B, qui n’hésitent pas non plus à filtrer les messages qui ne leur semblent pas pertinents.
Plus qu’aux statistiques, nous croyons aux vraies gens, en B2B comme en B2C.
Proposer une expérience de marque coûte de l’argent. Pour justifier ces coûts, nous devons établir des objectifs précis, au-delà des livrables : quel impact global ? Quel changement dans les comportements souhaitons-nous observer ?
Pour ça, il est impératif d’identifier, toucher et travailler avec les bons publics, et d’établir les bons index de mesure : depuis le trafic (visiteurs uniques, récurrence, temps de visite moyen), à la conversion (nombre de produits vendus, nombre de transactions), en passant par l’engagement (nombre d’interactions, adresses mail récoltées, visiteurs uniques).
Par ailleurs, il faut aussi penser à la progression de la notoriété, de la considération et de l’intention d’acheter, pour comprendre votre audience et ce qui la motive (études de satisfaction, répartition des genres, âge moyen, raison principale de la visite).
Placer l’audience au centre, c’est comprendre ses attentes et interpréter ses réactions.